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Le blog de Mr.Matte
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Le blog de Mr.Matte

VIP-Blog de matte
  • 21 articles publiés dans cette catégorie
  • 123 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 19/05/2006 20:04
    Modifié : 05/08/2006 12:37

    Garçon (14 ans)
    Origine : 91essone
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    [ Manga ] [ Bali et Java ] [ Fille ] [ Michael Jackson ] [ Jeux video - console ] [ Copain ] [ Humour ] [ Autre ]

    Info sur splinter cell "Double Agent"

    16/06/2006 08:27

    Info sur splinter cell


    Qu'est-ce que Echelon 3 ?

    Echelon 3 est une entité secrète de la NSA (National Security Agency), une équipe de stratèges, de pirates informatiques et d'agents d'élite qui collectent des renseignements capitaux pour anticiper et résoudre les crises de guerre de l'information.

    Quelle est la mission d'Echelon 3 ?

    Au cours de ces cinq dernières décennies, la NSA s'est engagée dans la recherche de renseignements secrets en interceptant des communications en cours. En réponse à l'utilisation croissante de codes toujours plus performants, la NSA est entrée dans une nouvelle ère dans le domaine du renseignement. Cette initiative top secrète, baptisée Echelon 3, marque un retour aux méthodes d'espionnage d'antan, mais améliorées grâce aux dernières technologies. Au lieu de filtrer les informations par le biais des satellites et des antennes, les agents d'Echelon 3 s'infiltrent directement au coeur du danger, en territoire ennemi pour collecter des renseignements capitaux et ce, par tous les moyens nécessaires.

    Les consignes des agents d'Echelon 3 sont les suivantes :
    - collecter par tous les moyens les renseignements vitaux à la sécurité des Etats-Unis
    - protéger les systèmes d'information critiques américains.
    - opérer dans l'ombre
    - travailler à l'extérieur des limites des traités internationaux en sachant que le gouvernement américain ne reconnait et ne soutient pas leurs opérations.

    Qu'est-ce que "Splinter Cell" ?

    Quand il est impossible d'obtenir les informations nécessaires par les moyens conventionnels, Echelon 3 entre en jeu. Ce service, dont le gouvernement américain nie jusqu'à l'existence, se décompose en cellules indépendantes, unités d'élite constituées d'un agent opérant seul sur le terrain, mais avec le soutien d'une équipe l'assistant à distance. La mission d'une telle cellule : être semblable à un éclat de verre, c'est-à-dire petite, tranchante et pour ainsi dire invisible.

    Qui est Sam Fisher ?

    Sam Fisher est le meilleur agent d'élite d'Echelon 3.

    Au cours des dernières décennies, Sam a pris part à des missions d'espionnage dans tous les grands conflits du globe. Non seulement il a toujours survécu, mais il a maintes fois démontré qu'il faisait partie des meilleurs dans sa spécialité. Son métier est néanmoins brutal, et il n'a pas le temps de se montrer tendre envers l'ennemi.

    Bien que bénéficiant d'une exceptionnelle confiance en lui, Sam sait également que sa survie jusqu'à ce jour est due à une grande part de chance. Comme tout le monde, il commet des erreurs et ne tient pas à mourir. Son humour se teinte parfois d'une légère touche de cynisme.

    Très calme, il est doté d'un instinct très développé et de fantastiques capacités d'observation. Sa vie est définie par trois priorités : le combat, l'espionnage et l'entraînement. Son sens tactique est désormais si ancré en lui qu'il fonctionne au même niveau que son instinct. Même quand il n'est pas sur le terrain, il ne se sent à l'aise qu'en marge de la société, à tout observer sans jamais prendre part à rien.

    Au fil des années, il a acquis une superbe collection de cicatrices et n'a plus rien à prouver à personne. La gloire ne l'intéresse pas. S'il continue de se battre, c'est parce qu'il pense que sa cause en vaut la peine et qu'il est capable de faire la différence.

    Qu'est-ce que le cyberterrorisme, la guerre de l'information ?

    La guerre de l'information peut prendre la forme d'une attaque contre des ordinateurs, des réseaux ou des systèmes d'information pour contraindre ou intimider un gouvernement et sa population. Ces attaques aboutissent à des actes violents envers la population et génèrent la peur. Celles qui ne perturbent que des services peu importants ou qui ne sont pas de grande envergure, ne sont pas assimilées à des guerres de l'information. Le cyberterrorisme peut avoir des conséquences graves telles que des décès, des blessures mortelles, des explosions, des crashs d'avions, des contaminations de l'eau, des pertes économiques importantes, ...

    La guerre de l'information est plus facile et efficace quand elle est menée contre les civiles. A cause de leur taille et de leur dépendance technologique, les Etats-Unis sont beaucoup plus vulnérables à la guerre de l'information que n'importe quel autre pays. La guerre de l'information peut se dérouler dans l'anonymat ou être dévoilée au monde entier.

    Nouveau site pour Splinter Cell Double Agent ! Voici enfin le nouveau site pour Splinter Cell Double Agent !

    Il contient les tous derniers contenus sur le jeu, incluant :
  • Les informations sur le jeu, avec des détails sur l'histoire, les personnages, les modes multijoueurs, et plus encore
  • Des vidéos et trailers à télécharger
  • Des contenus supplémentaires tels des fonds d'écran, des kits d'icones, des kits MSN, etc...

  • Le site sera bien sûr actualisé régulièrement avec des informations exclusives, des captures d'écran, des vidéos, des interviews et des concours !

    N'hésitez pas à venir discuter du jeu sur le forum officiel de Splinter Cell !







    Commentaire de Fire (29/06/2006 15:54) :

    Ce qui vas vraiment craindre dans ce nouveau Splinter Cell, c'est l'histoir





    Kingdom Hearts

    14/06/2006 19:09

    Kingdom Hearts


    Editeur :

    Sony

    Développeur :

    Squaresoft

    Type :

    Aventure / Action

    Site web officiel :

    Aller sur le site

    Sortie :

    20 novembre 2002

    Avec Kingdom Hearts, Squaresoft délaisse pour un temps la catégorie jeux de rôles pour se focaliser sur un soft d'aventure/action idéal pour les fêtes de fin d'année. Petits ou grands, inconditionnels de Square ou simples amateurs de l'univers Disney, tout le monde sera immanquablement séduit par ce titre qui réalise le cross-over improbable entre la magie du monde de Disney et de Final Fantasy.

    Chez Square, on ne sait pas faire que du RPG. La preuve, on prend même parfois des risques. Le risque de subir les foudres des puristes qui croyaient voir en Kingdom Hearts la nouvelle référence du RPG consoles. Le risque de se casser les dents sur un genre encore totalement nouveau pour Square. Et le risque, bien sûr, de rebuter les hardcore gamers avec un jeu qui a clairement pour objectif de séduire le jeune public. Le pari était audacieux, et l'on pouvait être sceptique quant au résultat final. Et autant le dire tout de suite, Kingdom Hearts n'a pas que des qualités. Pourtant, il faut vraiment que ce titre ait été confié à des développeurs de talent pour que la magie fonctionne à ce point dès les tout premiers instants. Kingdom Hearts n'est pas seulement un voyage dans un univers enchanteur et poétique, c'est aussi une aventure unique bourrée de références et de clins d'oeil amusants, qui donnent au joueur le sentiment de participer en tant que spectateur privilégié à l'une des aventures les plus séduisantes que l'on ait pu voir dans les contes.
    La première question qu'on se pose en démarrant le jeu, c'est de quelle façon Square est-il parvenu à mixer deux univers aussi colossaux que celui de Disney et de Final Fantasy sans privilégier l'un par rapport à l'autre, et sans déraper sur des incohérences ou des contrastes entre les personnages de ces univers respectifs ? La réponse a de quoi surprendre puisque c'est un personnage totalement inconnu, dénommé Sora, que le joueur contrôle. Désigné à son insu comme l'héritier de la Keyblade, Sora s'apprête à vivre un incroyable voyage dans des dimensions parallèles à la recherche de ses amis. Naïf et vulnérable au début, le jeune garçon verra sa volonté s'accroître au fur et à mesure que ses capacités augmenteront dans sa lutte contre les Sans-Coeur. La quête qui l'attend lui réserve bien des péripéties, mais aussi de très belles rencontres et des moments inoubliables.
    Car très vite, Sora sera rejoint par deux émissaires du monde de Disney : Donald et Dingo, qui feront office de compagnons d'aventure tout au long du jeu. Mais même s'il gère un groupe de trois personnages qui ont chacun leurs capacités propres, le joueur ne peut contrôler directement que Sora, tandis que le comportement des autres comparses est géré par l'IA du jeu. Le seul point sur lequel Kingdom Hearts se rapproche un peu d'un RPG, c'est au niveau des points d'expérience et des capacités spéciales que gagne le joueur au fil des combats. Les affrontements se résolvent par contre en temps réel, au moyen d'une interface très simple qui permet d'attaquer, de lancer des sorts magiques, de parler à un personnage, d'utiliser un objet ou d'effectuer toutes sortes d'interactions. Le résultat s'apparente assez à un Zelda-like, notamment à travers la possibilité de locker ses ennemis pour ne pas se faire déborder durant les mêlées.
    Dans la pratique, il faut bien reconnaître que le résultat est tout de même assez confus, à cause des angles de caméra limités et du manque de précision des attaques de Sora. En plus de cela, il faut aussi surveiller le niveau de vie de ses compagnons et s'isoler suffisamment pour prendre le temps de se régénérer sans risquer d'être interrompu par un adversaire sorti de nulle part. Pour cela, Kingdom Hearts se révèle parfois assez agaçant, et son niveau de difficulté risque de donner un peu de fil à retordre aux plus jeunes. Mais si le gameplay n'est pas complètement au top, le jeu n'en dégage pas moins un dynamisme indéniable qui ravit le spectateur d'autant plus facilement qu'il découvre successivement tous les univers de Disney. Tous ? Non. Mais on appréciera tout de même le périple de Sora au Pays des Merveilles sur les traces d'Alice, dans la Jungle aux côtés de Tarzan, son duel face à Clad dans l'arène du Colisée d'Hercule, son étonnement face aux personnalités atypiques de Peter Pan, de la petite sirène, de Pinocchio, de Winnie l'ourson ou encore d'Aladdin, et son art de se déguiser en toutes situations, même quand il s'agit de fêter Halloween avec Jack Squellington. Bien sûr, on aurait aimé en voir plus, mais avouez que le programme s'annonce déjà alléchant et relativement long. Pas autant qu'un Final Fantasy, c'est évident, mais on peut toujours croiser les doigts pour découvrir d'autres univers dans une éventuelle suite de Kingdom Hearts.
    Au risque de terminer par un point assez négatif, je me dois tout de même de vous prévenir que ce titre comporte un certain nombre de phases de jeu honteuses où l'on voyage de monde en monde aux commandes d'un vaisseau. Non seulement c'est complètement hideux au niveau de la réalisation, mais en plus c'est assez injouable et totalement inintéressant. Et comme si ça ne suffisait pas, il faudra en plus jouer les apprentis mécaniciens pour upgrader son vaisseau à l'aide de blocs spéciaux trouvés dans les niveaux. Une idée dont on se serait bien passé. Malgré tout, et même si l'on pourra reprocher à Square de nous imposer encore une fois le 50 Hz pour la version PAL, on ne saura que trop vous conseiller ce titre pour son dynamisme, son atmosphère magique et ses personnages attachants.

    Conseils
    Dans les mondes au-dessus de quatre étoiles, n’utilisez plus les personnages spécifiques aux niveaux : mieux vaut entraîner l’équipe fixe.
    Pour appeler un compagnon (ou deux) à la rescousse pour qu’il vienne attaquer l’ennemi actuellement ciblé, pressez TRIANGLE autant de fois que de compagnons vous voulez appeler.
    Essayez de prendre tous les objets possibles en un premier passage et ne revenez dans les mondes que quand vous aurez toutes les compétences et pouvoirs TRIO : rien ne sert de repasser pour un ou deux objets à chaque fois et de toute façon, il n’y a rien de plus récurrent que de faire du récurage de niveau !
    Avant de quitter un niveau, enlevez tous les objets et équipements des personnages du niveau : c’est ça de plus pour le stock et ça de moins perdu.
    Pour obtenir une séquence supplémentaire durant la scène de fin, il faut :
    - délivrer les 99 chiots dalmatiens
    - sceller toutes les portes (ne pas oublier les annexes c’est à dire Winnie l’ourson et colisée)
    - finir toutes les coupes du colisée
    - posséder les 10 rapports d’Ansem


    Commentaire de gabkun (15/06/2006 16:17) :

    c bien sa ta mi kh s trop trop bien


    Commentaire de Fire (29/06/2006 16:00) :

    C'est un peut éxagerer, je trouve que c'est bien Kingdom Hearts, a par les graphisme ( Le vaisseau on dirait un vaisseau en plastique et les persos des poupés, éxéepte quand quel un )mais sinon!





    Final Fantasy X-2 (PS2)

    05/06/2006 12:20

    Final Fantasy X-2 (PS2)


    Editeur :

    Square Enix

    Type :

    Jeu de Rôle

    Site web officiel :

    Aller sur le site

    Sortie :

    19 février 2004

    Classification :

    Déconseillé aux - de 12 ans

    Similaire à :

    Final Fantasy 10


    C'est avec émotion que nous entamons enfin ce test de Final Fantasy X-2, près d'un an après la sortie du jeu au Japon. Fini les questions existentielles pour savoir si oui ou non Tidus apparaît dans le jeu, je vais enfin pouvoir vous dire tout le bien que je pense de ce nouveau FF via une critique que j'espère la plus objective possible.

    x

    A l'instar du test de Castlevania, je profite du fait que nous avons déjà parlé en long et en large des différents aspects de FFX-2 dans le dossier qui lui était consacré pour me focaliser sur la critique. Deux, trois mots sur la version PAL qui, comme on pouvait s'en douter, nous impose un pauvre mode 50 Hz et se débarrasse du doublage japonais pour nous proposer des voix en anglais dont nous devrons nous contenter. C'est ainsi et pas autrement.


    Elles savent prendre la pose.
    Mais passons sans plus attendre au choc que vous ressentirez certainement en découvrant FFX-2 pour la première fois, même si vous savez déjà combien cette suite s'éloigne de Final Fantasy X. Dès les premières secondes et pendant plusieurs heures de jeu, on ne peut s'empêcher d'être interloqué par tous ces éléments qui font de FFX-2 un ovni dans la série des FF. Tout semble avoir été mis en place pour nous surprendre, et ce n'est pas peu dire. La scène d'intro nous présente une Yuna déchaînée qui semble avoir délaissé son kimono d'invokeuse pour revêtir une panoplie de chanteuse carrément suggestive. Son attitude hautaine et provocatrice tranche complètement avec le caractère de la jeune fille à laquelle on s'était attaché dans FFX, mais tout ça va trouver une explication par la suite. La démarche de Yuna dans les niveaux, les poses des YuRiPa (la team de Sphere Hunter formée par Yuna, Rikku et Paine), le design loufoque des ennemis, la musique moderne, l'humour naïf, bref l'ambiance de FFX-2 pourra probablement provoquer une réaction de rejet chez la plupart des inconditionnels de FFX.


    Je ne saurais vous dire à quel point le système de combat est dynamique.
    Pourtant, il suffit d'aborder ce jeu en se disant que l'on va découvrir quelque chose de vraiment différent pour commencer à véritablement apprécier tous les délires de FFX-2 et s'investir complètement dans ce RPG audacieux. On se surprend alors à sourire devant les nombreuses scènes cocasses, on est ému par la complicité des trois héroïnes et on prend plaisir à les voir endosser une nouvelle tenue en plein combat dans une animation à la Sailor Moon. Le fait est que si tout cela ne semble pas très sérieux et bien loin des préoccupations tragiques de FFX, le scénario prend une tournure radicalement différente après quelques heures de jeu, dès que l'on comprend que le gang Leblanc, principal rival des YuRiPa, va passer au second plan. La progression conserve bien évidemment le découpage sous forme de missions qui constitue l'une des particularités de cet opus, mais leur issue devient beaucoup plus lourde de sens. La trame devient plus complexe, plus tragique, mais aussi beaucoup plus passionnante, et l'on devine un final aussi époustouflant qu'incertain. Il existe réellement une cassure dans FFX-2 qui incitera ceux qui n'adhéreront pas forcément à la première partie du jeu à poursuivre tout de même l'aventure pour découvrir la véritable quête de cet épisode.


    Rikku laisse éclater sa colère.
    Je n'en dis pas plus, mais sachez que FFX-2 fait incontestablement partie de ces jeux qui s'apprivoisent petit à petit et qui offrent un plaisir de jeu exponentiel au fur et à mesure que l'on avance dans l'aventure. Alors que les développeurs de chez Square Enix auraient pu se contenter de reprendre la plupart des éléments qui avaient fait le succès de FFX, ils ont eu le courage d'essayer d'imaginer un système de combat encore plus dynamique, une progression novatrice et de construire une trame scénaristique qui tienne le joueur en haleine. S'il est évident que certaines personnes pourront regretter la plupart des éléments de FFX, les autres seront stupéfaits par l'efficacité du nouveau système de jeu. J'estime personnellement que le rôle des jobs, les enchaînements de coups et le dynamisme incroyable des actions rendent les combats autrement plus prenants que ceux de FFX qui étaient pourtant déjà excellents. De même, je peux vous assurer qu'il est tout à fait possible de se laisser complètement porter par l'ambiance particulière du titre, même après avoir eu de gros doutes lors des premières heures de jeu. Quant à la durée de vie, le soft est construit de telle sorte que l'on peut assez rapidement en voir le bout, mais FFX-2 fait partie de ces titres qui ne prennent toute leur ampleur que dans leur globalité. Il me paraît donc totalement inconcevable de mettre un terme à l'aventure après la première partie, alors que le jeu est justement conçu pour permettre au joueur de repartir du début avec toutes ses compétences pour le pousser à essayer de découvrir toutes les missions annexes, les pans de scénario optionnels et les jobs cachés. Pris dans cette optique, FFX-2 dispose bel et bien d'une durée de vie très solide, et son accessibilité consolera ceux qui avaient été rebutés par les quêtes annexes apocalyptiques de FFX. Je n'ai plus la place d'essayer de vous convaincre que Square Enix ne s'est pas trompé en repensant complètement l'orientation de cette suite, mais sachez que bouder FFX-2 vous ferait passer à côté d'une véritable perle. Une perle cachée à l'intérieur d'une carapace pas forcément facile à percer.

     



    Commentaire de Mr.Vince (09/06/2006 17:05) :

    Ce jeu est trop bien. je vais bientôt mettre des soluce si l'administrateur (un pro de chez pro) de ce blog me laisse en mettre. http://vince.vip-blog.com


    Commentaire de emeline (09/06/2006 20:00) :

    ca parcontre j'adore, bin jy joue plus parce que ma play est morte, mais c trop bien





    Splinter Cell Double Agent

    05/06/2006 12:14

    Splinter Cell Double Agent


    Editeur :

    Ubisoft

    Site web officiel :

    Aller sur le site

    Sortie :

    septembre 2006

    Dossier:

    Alors qu'il rencontre un virage majeur dans son existence, Sam Fisher a besoin de sang frais, d'une nouvelle équipe pour le soutenir. C'est donc le studio d'Ubisoft Shanghai qui a gagné le droit de monter son premier gros projet après avoir brillé pour son travail fragmentaire sur les épisodes précédents. Un regard nouveau sur une série qui aurait pu se scléroser mais qui aujourd'hui semble prendre un nouveau départ avec un scénario plus humain, des environnements qui délaissent les tours de bureaux et les bases high tech et un gameplay qui ne compte plus uniquement sur la "technophilie". C'est donc en Chine "terre de contrastes" et des sex movies pirates que nous nous sommes rendus afin de rencontrer l'équipe emmenée par Julian Gerighty, membre du fan club d'Animal Crossing et paranoïaque à ses heures perdues. De plaisantes heures auxquelles ne manquèrent qu'une version jouable de Splinter Cell Double Agent, remplacée par des démos Xbox 360 et PC effectuées de la main de leurs créateurs. Pour poser nos mimines sur ce quatrième volet, il faudra malheureusement attendre l'E3.

    Un heureux retour dans Splinter Cell

    Le mode multijoueur Spies Vs Mercenaries qui avait révélé tout le jus que pouvait contenir Splinter Cell en réseau, sera de retour dans Double Agent. Ce sont les joueurs de la communauté française qui ont réussi cette remise sur tapis, grâce à leur insistance sur le forum officiel du jeu et par mail principalement. Ubisoft a d'ailleurs pleinement écouté leurs supporters puisque plusieurs nouveautés et subtilités accompagneront ce retour. Avant tout, ce sont des affrontements à 3 contre 3 qui attendent les joueurs. Les mercenaires disposeront de nouveaux gadgets. La tête des espions bougera séparément, ce qui sera bien utile pour communiquer rapidement. L'objectif du mode, la décontamination, passe à la trappe pour une sorte de Capture The Flag avec un seul "drapeau" que les espions devront récupérer. De manière générale, le mode sera bien plus complet : création de son personnage, briefing en début de partie, système d'entrainement poussé, etc...

    E3 : Splinter Cell Double Agent

    Les 5 mois qui nous séparent de ce quatrième volet de Splinter Cell semblent immédiatement interminaux dès la diffusion de nouvelles images. Plus libre, moins propre et décidément magnifique, ce Double Agent a tout pour provoquer l'aboutissement créatif d'une série qui a toujours su garder un excellent niveau d'exigence. Vous pourrez déjà prendre en main pleinement votre destin en choisissant en âme et conscience le terrorisme ou l'action d'état. Toutes vos armes et gadgets seront améliorables, tandis que le gameplay devrait s'enrichir en profondeur tactique avec de nouveaux mouvements. L'aventure promet aussi d'être très longue et variée, vous visiterez des lieux aussi charismatiques que Shangai ou New York. Enfin, normalement, le réjouissant mode Spies versus Merc devrait faire son grand retour pour le plus grand bonheur des fans.

    Splinter Cell Double Agent confirmé

    Ce n'était plus un secret pour personne, le 4ème volet de la saga Splinter Cell sera sous-titré "Double Agent", Ubisoft vient d'ailleurs de le confirmer. Sam Fisher infiltrera donc une organisation terroriste via son emprisonnement (puis son évasion). A travers le monde, le célèbre agent sera en contact avec les 13 terroristes les plus recherchés de la planète et devra à la fois remplir les missions que ceux-ci lui confieront et répondre favorablement aux requêtes de la NSA dont les intérêts seront complètement opposés. On apprend également que le jeu aura plusieurs dénouements différents, en fonction des choix que l'on aura faits plus tôt dans l'aventure, et qu'un mode multi sera de la partie. Splinter Cell Double Agent sortira au printemps 2006 sur Xbox 360, Xbox, PS2, GameCube et PC. Voici en prime les derniers screens qui nous sont parvenus.

     



    Commentaire de emeline (09/06/2006 20:00) :

    ca aussi jaime bien c pas mal





    James Bond : Bons Baisers de Russie (PS2)

    05/06/2006 12:08

    James Bond : Bons Baisers de Russie (PS2)


    Editeur :

    Electronic Arts

    Type :

    Action

    Site web officiel :

    Aller sur le site

    Sortie :

    17 novembre 2005

    Classification :

    Déconseillé aux - de 16 ans

    Similaire à :

    James Bond 007 : Quitte Ou Double

    Depuis qu'EA a récupéré la licence James Bond, l'éditeur a eu bien du mal à s'en dépatouiller, mais l'an dernier, l'épisode Quitte Ou Double aura fini par briser cette chaîne maudite. La grande question est alors : EA sera-t-il en mesure de rééditer la performance ?

    x

    Que voilà une excellente idée, adapter l'un des vieux James Bond classiques, interprété par l'immortel Sean Connery. Un vrai bon 007 bien vintage des temps anciens, histoire de retrouver une ambiance drue et auréolée de la classe du plus grand des James Bond. L'idée un peu moins bonne en revanche, c'est d'avoir voulu apporter des changements assez regrettables vis-à-vis du film. EA, dans un but compréhensible, a ainsi opéré quelques ajouts et coupes sombres dans le scénario de Bons Baisers De Russie. Certaines scènes se voient donc tronquées ou curieusement biaisées, mais ce sont surtout les ajouts qui manquent singulièrement de pêche. Cela dit, le jeu conserve une fidélité tout à fait honorable avec la trame du film qui voit l'agent le plus classe du monde partir à Istanbul pour tomber droit dans un piège du SPECTRE. Tout ça pour justifier une gigantesque chasse aux canards, puisque Bons Baisers de Russie, le jeu, a tout d'un shooter, assez primaire en vérité.


    L'instant Keanu Reeves. "hum ?"
    Voilà qui est par ailleurs assez étonnant dans la mesure où, comme à l'accoutumée, Bond est bien équipé en gadgets divers. L'ennui, c'est qu'on a finalement peu d'occasions de s'en servir. Le Q-Copter par exemple, ce petit hélicoptère radioguidé, sert de temps à autre à jeter un regard là où l'on ne peut se rendre physiquement pendant que la ceinture de rappel nous donnera accès à des zones en hauteur ou trop basses. Mais si Quitte Ou Double faisait de cette ceinture un usage spectaculaire, Bons Baisers De Russie la transforme en un malheureux accessoire qui vous déplace automatiquement et sans la moindre allure. Il en va de même pour tous les éléments relatifs au combat, sympathiques dans l'idée, mais parfaitement inexploités. A titre d'exemple, il est possible de réaliser des stealth kills, mais en dehors de deux missions d'infiltration (amusantes au demeurant), jamais on n'aura réellement l'occasion, le besoin ou même l'envie de s'en servir. La raison en est simple : le jeu est avant tout un enchaînement de gros gunfights, malheureusement trop faciles. Pour spectaculaires que puissent être certaines séquences de jeu, elles sont bien trop simples. Dotés d'une IA franchement à la ramasse, les ennemis se font décimer de façon industrielle. Certes, on peut, comme dans Quitte Ou Double, utiliser le système de visée de façon à tirer sur une grenade qu'un hostile et belliqueux adversaire porte à la ceinture. Mais pourquoi s'enquiquiner de la sorte quand il est si simple de tirer dans le tas ? Du coup, l'idée même de profiter de ce genre de petits "plus" ne dépasse pas le stade d'embryon de neurone. Et c'est encore le même problème qui se pose avec les attaques au corps-à-corps qui bien souvent sont exécutées par accident, parce qu'on s'est trop approché d'une cible. C'est très frustrant finalement de voir toutes ces possibilités être complètement effacées par une action trop rentre-dedans. A ce titre, Quitte Ou Double s'en sortait beaucoup mieux là ou Bons Baisers de Russie pèche par paresse.


    Euh...
    Ceci étant, on peut toujours trouver son bonheur dans cette succession de combats à la mise en scène parfois ébouriffante, à condition de ne pas être allergique au fait de courir en tirant partout avec un système de visée qui fait le plus gros du travail. Le genre de chose que l'on aurait également souhaité éviter dans les phases à bord de véhicules. Un autre point sur lequel Bons Baisers de Russie échoue quelque peu. Clairement moins impressionnantes que la grande poursuite à moto de l'année dernière, ces phases, qu'elles soient à bord d'une voiture, d'un bateau ou du jetpack souffrent surtout du même problème que le reste du jeu : c'est pas mal, mais on n'est pas dedans, pour la bonne et simple raison que tout ceci est trop facile, il nous manque les grands frissons. Du coup, l'action tombe plus ou moins à plat, cédant encore une fois la place à du run'n gun un peu bateau.


    Moi, je suis Sean Connery, vous à ma place vous auriez l'air ridicule, moi j'ai encore la classe.
    Et c'est un peu la même chose en multijoueur, que l'on joue en deathmatch ou en CTF, ou même dans le pourtant prometteur Dogfight dans lequel on s'affronte équipé de jetpack. Exactement comme dans le mode solo, on note de bonnes bases, mais la sauce retombe. En particulier à force de latter les autres joueurs avec une visée bien trop assistée. Bonjour le challenge !

    On terminera avec quelques mots sur la réalisation qui nous fait profiter d'un Sean Connery fort joliment modélisé mais malheureusement dépourvu de sa voix originale, à moins évidemment de jouer en V.O. Globalement assez proche de son grand frère, Bons Baisers de Russie se montre coquet mais manque un peu d'interaction avec l'environnement. Le design est en tout cas plaisant et compte pour beaucoup dans le petit capital sympathie du jeu. L'effet Sean Connery sans doute.



    Commentaire de mathilde (07/06/2006 17:15) :

    moi jm bcp call of duty! il é eXtra! ++


    Commentaire de mr vince (15/06/2006 17:16) :

    je connais ce jeu il est tp bien par contre matte m'explose toujours http://vince.vip-blog.com


    Commentaire de Fire (29/06/2006 16:04) :

    Moi aussi j'y ait jouer, il est super bien ( a par le niveau de difficulté un peu trop élever) mais il déchire, le problème, c'est le mode multijoueur, pas très bien





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